dimanche 19 septembre 2010

So, samedi on est parti, 120 km au nord de Montréal, à la recherche des couleurs d'automne.
On les a trouvées, timides, cachées encore derrière le vert de la forêt, sous les pierres ou à la surface de l'eau, là ou la lumière, le vent et les vagues jouent ensemble.
C'était beau mais froid. Le vent, comme un chien tenu trop longue temps en laisse, commence à montrer ses dents et à nous rappeler que l'automne va bientôt suivre.
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Deci, asa cum va spuneam, sambata am plecat la 120 km nord de Montréal, in cautarea culorilor toamnei.
Le-am gasit timide, ascunse inca in spatele verdelui padurii, sub pietre sau la suprafata apei, acolo unde lumina, vantul si valurile se joaca impreuna.
A fost frumos dar frig. Vantul, precum un caine tinut prea mult timp in lesa, incepe sa-si arate coltii si sa ne aduca aminte ca toamna il urmeaza indeaproape.

Pour ceux qui sont curieux, c'est à peu près ça un barrage de castor. Le ruisseau, le barrage assez solide, et le lac , plus petit mais comme le lac des grandes centrales hydro énergiques.
Dans la photo quelqu'un a détruit la moitié du barrage . Humain ou animal j'en suis sure qu'il était à la recherche de l'eau les semaines passées, sur la grande canicule. Quand même il y restait une dénivéllation de presque un mètre entre le ruisseau et le lac.
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Pentru cei curiosi, urmatoarea poza arata un baraj facut de un castor : rauletul, barajul destul de solid si lacul micut dar asemanator lacurilor centralelor hidroelectrice. Barajul a fost distrus pe jumatate. Om sau animal, sunt convinsa ca cine a facut asta era in cautarea apei saptamanile trecute in timpul marii canicule. Oricum, mai ramasese o denivelare de aproape un metru intre lac si raulet.

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